Petit dejeuné au lit / Lisa Cuddy

En ce petit matin, a une heure relativement tôt, notre diagnosticien s’était réveiller par une petite douleurs a la jambe, pour la faire passé, il sortit lentement du lit sans faire de bruit. Passant a la salle de bain, en y sortant, il entendit parler dans la chambre de la petite, apparemment elle en était réveillé. Ouvrant lentement la porte, elle jouait tranquillement avec sa peluche a son lit, jusqu'à se qu’elle l’aperçoit, quémandant son aide pour sortir, se qu’il fit en entrant dans la chambre, prenant la petite Rachel, qui le serras dans ses bras. Il eut une idée et lui en fit pars…

-Si on allait préparer un petit déjeuner pour maman..?

Il eut une réponse positive, allant à la cuisine avec la compagnie de sa canne et de la petite a ses bras. Allant à la cuisine, tranquillement. Posant Rachel, sur le comptoir à coté du grille pain, prenant dans la petite armoire le pain, qu’il lui donna, elle les mit dedans et avec son aide appuya sur le bouton…

-Surveille les bien pour ne pas qu’il vole..

Tandis qu’il s’afférait près d’elle, a en faire le reste du déjeuner, chose rapide, tout en la surveillant de près, lorsque le pain grillé sortit, elle les prit et les déposa dans l’assiette présenté, notre médecin lui demanda si elle voulais l’aider a mettre le beurre, elle l’aida avec sa petite main sans toucher au couteau de façon dangereuse. Une fois le tout terminé, il la fit grimper a son dos, se qu’elle faisait souvent lorsqu’il se trouva sur le sol. S’accrochant fermement, prenant sa canne, le plateau, pour se dirigé vers la chambre de sa belle Lisa. Posant le plateau sur la table de chevet, prenant place sur le lit, la petite approcha sa mère pour la réveillé doucement sous le regard de House…

C'était un dimanche ordinaire, où le soleil régnait sur la ville de Princeton. Dehors, les oiseaux chantaient, par une si belle matinée d'été. Il était 9h00, et la Doyenne était plongée dans un profond sommeil. Elle avait eu une courte nuit, car elle avait travaillé jusque tard sur ses dossiers la vieille. Et tant mieux, aujourd'hui elle ne travaillait ps, et pouvait donc se reposer librement !!!

Elle ne sentit pas son récent compagnon sortir du lit, tant elle était plongée dans les bras de Morphée.

Un peu plus tard, elle sentit le lit s'affaisser quelque peu sous le pont d'un nouvel occupant. Un sourire se dessina sur ses lèvres, tandis que sa fille venait se blottir dans ses bras. Elle ouvrit alors doucement les yeux, et embrassa la petite sur le front.

Bonjour ma puce ... dit-elle, d'une voix toute douce.

Elle aperçut le petit déj' préparé à son intention, et son sourire s'élargit.

Bonjour House !!! ajouta-t'elle après s'être assise.

Elle saisit tendrement les lèvres du Diagnosticien, y déposant un baiser plein de tendresse.

Pour les rare fin de semaine ou notre grand médecin en était a la maison, pour une fois, il avait résolue un cas assez complexe en quelque jours, se qui lui donna certes un temps de congé, il avait une fin de semaine complète! Il ne s’était pas vraiment opposé a passé la journée avec la petite, elle les avait retrouvé endormit sur le fauteuil du salon. House étendue sur le ventre, la petite qui avait grimpé a son dos, pour s’endormir lentement en regardant la télévision avec notre diagnosticien réputé. Aujo0urd’hui, il avait préparé le déjeuné pour sa belle en compagnie de Rachel. La laissant réveiller sa mère, comme bon il lui semblait. Lui observateur, jusqu'à se qu’elle le salut.

-Salut Morphée… Petit déjeuné…

Acceptant les lèvres de sa belle dans un doux baiser. Glissant les doigts a sa joue pour la relâché par une petite jalouse qui s’amusait a les séparé pour recevoir aussi un bisou, classique des enfants. Posant un baiser sur le front de la petite, qui prit sa place pour laisser Lisa manger tranquillement. Tout en les observant tranquillement, en se couchant au pied du lit, la tête appuyé sur sa main pour les observé tranquillement. N’étant pas très loin non plus. Ce disant bien, qu’il avait bien fait, même si elle avait encore besoin du sommeil.

Lorsqu'elle était rentrée du travail la veille, elle avait retrouvé le Diagnosticien dans son salon, Rachel sur lui. Image que personne n'imaginerait à l'hôpital !!! Car oui, ils n'avaient toujours pas répandu la nouvelle dans tout le PPTH, et c'était tant mieux !!! En tout cas House faisait de grands efforts avec Rachel, et tout ça pour sa Boss. Alala, que c'est beau l'amour !!!!

Oh c'est si gentil House !!! s'exclama-t'elle, en contemplant le plateau de petit déj' spécialement préparé pour elle.

Tandis qu'ils s'embrassait amoureusement, la petite vint les séparer. Et oui, Mlle faisait sa jalouse !!!

Lisa mangea doucement, tout en fixant le Diagnosticien qui s'était installé au pied du lit pour l'observer. Elle lui adressa un large sourire, avant de ramper sur le lit jusqu'à lui pour finalement s'installer entre ses jambes, les yeux pétillants. Elle posa ensuite sa tête sr son torse. Elle était si bien ainsi !!!

Tout en avalant un bout de tartine, elle prit la main de son amant dans la sienne, et la lui caressa avec son pouce. Comme elle était heureuse qu'ils se soient débarrassés de Lucas à peine étaient-ils rentré de la plage après la sortie du médecin de Mayfield !!!!

Quelle chance j'ai d'avoir un petit ami comme toi !!! assura-t'elle, avant de saisir sa bouche de nouveau, les lèvres un peu collantes à cause de la confiture.

Avec tout les efforts qu’il produisait notre diagnosticien avait apprit bien des choses. Il ne s’était jamais imaginer être père, image qui ne lui était jamais venue a l’esprit. Maintenant, il l’était devenu en quelque seconde en lui avouant son amour le jour de sa sortie de Mayfield. Il s’en sortait pas si mal après tout, il lui devait s’habituer, se qu’il faisait. Satisfait de ses efforts donnés. Le jour fatal allaient bientôt arrivé, le jour des aveux. N’arrivant plus trop a inventé des excuses, il les avait presque toute sorties et la comédie n’allait plus durer. Petit sourire en l’entendant.

-Mais de rien... Cela m’est venu comme cela…

Eh oui, petite jalouse était venue les séparer, pour en quérir un bisou, elle aussi, mais heureuse comme tout en les recevant, les laissant tranquille, volant quelque bout pour manger, même si elle avait déjà mangé. S’installant au pied du lit pour les observé doucement. Relevant les yeux lorsqu’elle rampa jusqu'à lui, pour s’installer entre ses jambes, ne ratant pas le spectacle des jumeaux passé tout près. Glissant les mains à sa taille pour l’enlacer doucement collant un baiser a son cou au travers de ses cheveux. Gardant sa main dans la sienne, ne bougeant plus trop.

-Je n’y suis pour rien… Je suis fait ainsi…

Un autre baiser, qui leurs value, une autre petite crise de la petite jalouse. Tapant sur leurs jambes pour les séparé.

House s'était réellement engagé dans quelque chose pour une fois. Parce qu'à l'instant où il lui avait avoué ses sentiments, il savait les conséquences, et savait surtout qu'elle avait un microbe sur les bras. En tout cas,Lisa était extrêmement fière de lui, parce qu'avec ses énormes efforts, il s'en sortait très bien !!! Mieux que quiconque ne l'aurait pensé ... Au travail, les excuses commençaient à manquer, car leur léger changement de comportement n'était pas passé totalement inaperçu ... De toute façon, un jour ou l'autre, il faudra bien que la chose soit avouée à tout le monde, ils ne pouvait pouvaient pas se cacher indéfiniment !!!

Et bien c'est charmant, je suis fière de toi House !!! le taquina-t'elle. Et dire que les gens te pensent sans coeur, alors qu'avec moi tu es un ange !!! Enfin, de temps en temps ....

Rachel faisait la petite jalouse, boudant même quelques instants. Mais sa mère lui présent une tartine, qu'elle commença à grignoter doucement. Quelle gourmande cette petite !!!

Tandis que la Doyenne prenait place entre les jambes de son compagnon, elle sentit ses bras autour de sa taille, la rapprochant ainsi de lui. Elle sentit alors ses lèvres se poser dans son cou, au milieu de ses cheveux ébènes. Elle ferma alors les yeux un instant, main dans la main avec lui.

On dirait bien que Rachel ne veut pas que sa maman profite de son chéri !!! dit-elle en riant.

La petite les voyant toujours s'embrasser, se mit à leur taper les jambes de ses petites mains. Bien sûr elle ne leur faisait pas mal, elle les faisait plutôt rire.

Viens par là petite coquine, maman et House vont t'attaquer aux guillis !!! s'exclama-t'elle avant d'attraper sa fille.

Toujours entre les jambes de son employé avec ses bras autour de sa taille, elle s'afféra à chatouiller Rachel, qui explosa de rire.

Pour de l’engagement s’était de l’engagement, trouvant qu’il s’en sortait mieux qu’il ne l’avait pensé, il avait peut être un coté paternel jamais développer. Mais se don s’était peut a peut réveiller avec le temps qu’il vivait maintenant avec elles. On ne pouvait pas le changer du jour au lendemain, mais avait bel et bien un peut changer pour se montrer sur un autre jour. Le seul autre jour qu’elle pouvait connaitre en privé, car House restais House au boulot! Mais bientôt, il allait sans doute mettre fin aux petits jeux, on commençait à se poser des questions sur eux et leur comportement. L’écoutant tranquillement.

-Faut bien que je fasse mes preuves!! Car, ils ne me connaissent pas, comme toi tu me connais…

Il trouvait parfois les agissements de la petite Rachel comique, elle le surprenait plus qu’autre chose. Au final, les aliens comme il les appelait dans le ventre de leur mère en forme fœtus, donnait des être exceptionnels qui changeait toute une vie et changeait aussi les gens.

La laissant prendre place, la ou elle voulait. L’enlaçant doucement a la taille, posant un baiser a son cou, plus que le temps avançait plus, il se disait avoir fait le bon choix, il ne se torturait plus l’esprit comme autre fois.

-Ce ne serras pas drôle une fois grande…

En gardant un petit sourire, en riant en ressentant des petites tapes sur sa jambe. N’ayant pas mal, car elle tapait a sa cheville. Laissant Cuddy attraper sa fille pour une attaque au guillis. Une attaque ou il se joint a elle, qui aurais crut House aussi paternel…

Le dimanche faisait parti des seuls jours où ils pouvaient flâner ensemble toute la journée. Car au travail pour le moment, c'était hors de question. Bien sûr, ils passaient parfois les nuits de la semaine ensemble, lorsque Lisa n'avait pas eu trop de paperasse ou qu'House ne devait pas rester plus tard à l'hôpital pour un cas, puisqu'il assistait au Diagnostique en tant que consultant, Foreman gérant le service le temps que son employé retrouve sa licence.

Mais très bientôt, ils pourraient s'embrasser librement au PPTH, puisqu'ils étaient enfin décidés à l'avouer publiquement. Une grande première ...

Heureusement qu'ils ne te connaissent pas comme je te connais, ou je serai jalouse !!! plaisanta-t'elle.

House semblait ne plus se torturer autant l'esprit qu'avant sur la question de leur relation, et 'étai tant mieux !!! Car cela prouvait qu'il s'engageait réellement.

On l'enverra chez ses amies de temps en temps pour avoir la paix !!! dit-elle, un large sourire aux lèvres avant d'embrasser amoureusement son compagnon.

Tandis qu'elle chatouillait Rachel, House se joint à elle, ce qui étonna la jeune femme dans un premier temps. puis très vite, les guillis reprirent, et la petite riait à gorge déployée, tout comme sa mère. Quelle charmante scène "familiale" !!!

Le dimanche journée ou les gens allaient a la messe tandis que d’autre flânais, tout comme ses deux comparse du Princeton Plainsboro. Journée ou il profitait grandement de la présence de l’un et de l’autre. Ce qui fonctionnait a leurs grands plaisirs! Personne n’osait déranger House, puisqu’il en fermait son portable, chose qui ne fallait pas trop faire et son bipper restait dans les confins de la maison dans sa poche de veste sur le mode vibreur, de toute façon il agissait en consultant. Foreman gérait la machine a sa place, il ce débrouillait bien, mais lorsqu’il dérapait House était toujours la pour rattraper. Mais lorsqu’il aurait sa licence, cela allait changer, il allait sans doute s’ouvrir la trappe sur les aveux. Malgré qu’il en était un bon comédien tout les deux, méchant duo!

-Personne, ne me connait ainsi… Et ses tants mieux! Ils auraient peurs!

Non, il ne se torturait plus l’esprit comme avant, endossant les responsabilités tranquillement, se qui lui allaient bien après tout. Étonnant les personnes qui savaient leurs secrets bien cachés. En privé il se montrait vraiment sous un nouvel angle, une nouvelle personne.

-Ses une idée…

Rendant le baisée tout aussi amoureusement. Cela se voyait qu’il en était réellement amoureux, il ne faisait pas semblant. Chatouillant la petite, une grande première, il prenait partie, a la partie familiale. Voyant la surprise sur son visage, tandis qu’il lui fit un sourire avant de reprendre plus belle avec elle.

Heureusement pour les deux amants, pas de cas en cours. Et puis de toute façon, House n'ayant pas encore récupéré sa licence, il n'avait pas encore officiellement le droit d'exercé de nouveau. De plus, il avait coupé son téléphone, et mit leurs bippers en vibreur. Alala, il avait vraiment pensé à tout pour sa belle !!! Elle l'avait donc laissé faire, elle qui d'ordinaire ne voulait pas couper son portable, de peur que quelque chose de grave arrive à l'hôpital. Mais aujourd'hui, jour du seigneur, c'était une exception !!!

Tu m'étonnes oui, déjà que tu effraies certaines personnes avec tes façons de faire et tes agissements !!! s'exclama-t'elle, tout en promenant sa main dans sa barbe de trois jours.

Face à Lisa, se découvrait vraiment un nouveau House,un House meilleur. Bien sur, pour le moment au travail il continuait de se comporter de la même façon qu'avant,mais ces répliques étaient légèrement moins assassines avec elle. Et ça ne la dérangeait pas du tout, au contraire.!!!

Et oui,je pense à tout !!! plaisanta-t'elle. Mais dans tous les cas,toi et moi avons besoin d'intimité, n'est-ce pas ???

Le baiser qu'il lui rendit était si doux, si passionné, si tendre, qu'on sentait l'amour s'en dégager. Et bien qu'House ne lui ait jamais clairement dit "je t'aime", ce baiser était comme une preuve pour elle, la preuve qu'il était sincère au sujet de ses sentiments vis-à-vis d'elle.

Après des sourires échangés, ils reprirent de plus bel les chatouilles, jusqu'à ce que Rachel en pleure de rire. Lisa se laissa alors tomber contre le torse de son amant, toute décoiffée.

Il se tenait vraiment a carreaux, au boulot, passant presque qu’inaperçu, rigolant bien des décisions de Foreman pour ensuite le corrigé lors d’une erreur qui risquait de tué le patient, chose qui ne fallait pas qui arrive. Il avait pensé fermer le sien, d’ailleurs la pile était surement déchargé se qui l’avais sans doute éteint tout seul, il n’était pas grand fan. Son bipper, pas la peine d’en parler, qu’il est déjà mit en vibreur. Il ne suffisait que passé par Wilson et on savait ou le trouvé si s’en était important. Il avait même osé mettre celui de la belle en mode vibreur, même sous les représailles, mais avais réussit à la convaincre.

-Mais ses marrant! Je ne peux pas m’en empêcher de toute manière…

Barbe qui avait reprit sa place depuis sa sortie, il en était habitué de l’avoir, comment faire autrement. Mais au moins l’entretenait, elle paraissait toujours de deux a trois jours sans plus. Bien qu’il se comportait vraiment autrement qu’en se moment a l’hôpital, mais se faisait rapidement excusé en fin de journée lorsqu’il arrivait a la coincé seule. Vivre les cages d’escaliers ou autre truc.

-Mais se ne serras pas pour le moment…. Je ne pourrais pas me passé de nos moment intime…

Mais bon House, avait encore de la difficulté avec les mots doux verbaux, mais posait des gestes qui voulaient en signifier les mots. Tout en étant sincère, doux et attentionné. Jamais il n’oserait lui faire du mal. Reprenant les chatouilles, jusqu’au larme de joie de la petites, qui s’amusait bien, lorsque ce fut la fin, il laissa Lisa reprendre son souffle, il passa une main dans ses boucle, les faisant tombé dans son visage, avant de lui dégagé lentement.

Elle aimait tant les moments où la porte de son bureau s'ouvrait à la volée,laissant apparaître le Diagnosticien venant faire une demande quelconque pour un soin. Elle faisait alors mine d'être énervée contre lui pour ses entrées fracassantes,bien qu'au fond d'elle elle les adorait.

Bien qu'elle l'avait réprimandé lorsqu'il avait éteint son bipper à elle, elle l'avait tout de même laissé faire, s'étant laissé convaincre par les arguments de celui-ci.

Et puis tu es comme ça,les autres n'ont qu'à prendre du poil de la bêtes'ils ne veulent plus te craindre !!! lâcha-t'elle, accompagné d'un charmant petit rire.

La barbe de trois jours de Greg le rendait irrésistible aux yeux de la belle, elle l'aimait comme il était. De plus, au travail, lorsqu'ils trouvaient un endroit à l'écart,tranquille et où personne ne passait, ils en profitaient pour se retrouver mutuellement. Comme par exemple la cage d'ascenseur, tard le soir, après le roulement équipe de jour/équipe de nuit aux urgences.

Moi non plus House, j'aime tellement les moments que nous partageons ensemble ... lui murmura-t'elle à l'oreille avant de la lui mordiller.

Entre eux, les gestes primaient, les mots étant moins forts que les actes.

Le dos contre le torse du médecin, elle se sentait mieux que jamais. tandis qu'elle reprenait son souffle, il se mit à jouer avec se boucles ébènes. Bien sur, elle le laissa faire, le fixant d'un regard amoureux. Elle enfouit alors sa tête dans son cou, humant ainsi son parfum qu'elle aimait tant.

Bien que ses apparitions fracassante pouvais en énervé quelque uns, s’était pour mieux se faire entendre. Il ouvrait les portes, apparaissait, après l’idée de cogner lui venait, bien souvent il ne cognait tout simplement pas, interrompant la concentration des autres a son plus grand plaisir. Ignorant qu’elle appréciait se genre d’entré, que cela lui donnait l’occasion d’avoir une petit pause dans son travail débordant de tout coté. Il s’était bien foutu de la réprimande a propos du bipper, l’hôpital pouvais bien se passé d’elle un vingt quatre heure, elle n’avait pas d’assistant pour rien, fallait bien qu’il serve a quelque chose dans toute cette organisation de personne et de personnel qui n’avait rien a faire, qu’a se tourné les pouce celons lui, même s’il en était un experts dans la chose.

-Ses pour cela que je ne changerais pas pour le moindre du monde… Je suis leur pire cauchemar!

A quand remonte un Greg tout raser, cela datait de très loin, peut être a la FAC, mais cela remontait a très loin, malgré son apparence jeune, ont pouvais deviner son âge avec le grisonnant a ses cheveux et sa barbe, jamais il n’irait se teindre, la vie avait choisit. Aimant bien les petits moments où il se coinçait dans un coin retiré des autres. Attirant parfois un petit regard par ci et par la, quelque doutes, mais tout le monde préférait garder cela pour eux avec les menace de House. Il aimait bien les terrorisé.

-A chaque fois, cela nous est une surprise…

Petit sourire malicieux quand elle venue le mordiller, il resserra un peut son emprise a sa taille, se qui eut pour effet de remonter un peut ses main sans être déplacé aux jeune yeux. On sait bien que les gestes de notre diagnosticien comptaient plus que les paroles sur le sujet de l’amour. Un jour, il allait rendre a l’évidence de s’avouer et de le dire de vive voix. Jouant doucement dans les cheveux de sa bien aimé, chose qu’il n’avais pas vraiment le loisir une fois attaché. Même s’il faisait exprès de les détacher.

Certes, le voir entrer dans les pièces sans prendre la peine de frapper avant l'exaspérait lorsqu'elle se trouvait en présence d'importants donateurs, mais le reste du temps elle aimait ses visites à l'imprévu. Et puis, il lui rendait parfois service lorsque les conversations avec ses rendez-vous devenaient trop ennuyeuses ou inintéressantes et qu'il faisait son apparition, car aussitôt le sujet était plus attractif !!!

L'assistant de Cuddy allait enfin pouvoir faire ses preuves, car de toute façon tous moyens de communication avec l'extérieur avait été stoppé par House, qui voulait profiter du corps de sa compagne la journée durant.

Et mon plus beau fantasme ... lâcha-t'elle, d'un air coquin.

Autant qu'elle s'en souvienne, il avait toujours eu cette petite barbe, qui jouait tellement dans son charme. Bien sûr, à présent elle grisonnait, mais peu importe, il était toujours aussi sexy !!!

Au travail, quelques doutes de certains employés se posaient, ceux-là ayant surpris un regard ou un geste de la part des deux médecins. Mais bien sûr,les employés n'étaient sûr de rien, et préféraient mettre ça sur le compte des habitudes du Diagnosticien et de la Doyenne, qu'ils avaient toujours connu en train de jouer au chat et à la souris.

Tu es le plus beau cadeau que j'ai jamais eu ... s'exclama-t'elle, sa tête au creux de son cou.

Il resserra son emprise sur sa taille, et évidemment elle le laissa faire, aimant tellement ça. Il jouait avec les cheveux de sa bien-aimée, comme il le faisait souvent. C'était d'ailleurs pour ça qu'elle les attachait peu, pour lui laisser le plaisir de passer sa main dans ses magnifiques boucles. Et puis, lorsqu'elle se les attachait,par exemple avant qu'ils ne s'envoient en l'air, il aimait lui retirer l'élastique retenant sa chevelure brune, qui retombait alors sur ses épaules nues.

Entrer dans les pièces sans annoncer sont arrivé en était un des ses jeux préféré. Il l’avait même fait a l’hôpital psychiatrique, voulant un conseille illico. Seul Wilson avait été mit au courant de cette fresque. Il préférait en déranger la doyenne du Princeton Plainsboro. Lui évitant de faire certaine gaffe avec certain client ou patient avec ses remarques cinglantes. Mais bon, il savait qu’au font elle en appréciait certaine apparition.

Donnant en cette journée du dimanche un petit congé. Même lorsqu’elle lui jetais certaine représailles sur les épaules, il les balayait doucement sans s’en faire pour lui prouvez qu’il avait raison, qu’il l’avait toujours fait et qu’elle avait toujours sut le rejoindre tout de même, si le personnel était moindrement intelligent, il allait sans doute bien de débrouillé.

-Que je sois leur pire cauchemar?

Comprenant plus trop sur le moment. Il s’était toujours fouttu de son apparence, il en était décontracter, différent des autres et ses se qu’il aimait. A ses souvenir, il n’avait pas porté souvent le vêtement assortit. Que lorsqu’il se décidait à faire le médecin model, costume cravate, sans blouse blanche, mais une fois par année suffisait largement!

Au plus loin de ses souvenir, il lui avait toujours adressé des regards ou poser des gestes, quelque peut déplacer, mais mettait tout de même quelque doute, puisqu’il le faisait plus souvent que l’habitude. Le jeu du chat et de la souris perdurait toujours. Leurs amusements préférer.

-Au moins je suis apprécier comme cadeau et jalouser par certaine…

Il l’agaçait souvent avec ses cheveux, le lui détacher lorsqu’elle s’en attendait le moins, il préférait la voir cheveux détacher. Son fantasme en quelque sorte.

Bien sur, parfois les entrées du Diagnosticien lui évitait de s'emporter contre les donateurs ou les patients venus se plaindre des services qu'ils avaient reçu. Mais quand, en plein rendez-vous important ou grosse réunion, un homme tel que House fait son entrée fracassante dans votre bureau, ça vous énerve vite !!! Mais bon, House était House, et même en lui reprochant son comportement, rien n'y fait. Et il fallait l'avouer, Lisa ADORAIT qu'il vienne la voir.

Elle lui en voulait quelque peu d'avoir coupé tous ces moyens de contact avec l'extérieur,mais en même temps c'était pour son bien. Après tout, son personnel était plus que compétant et savait comment se débrouillait sans la jeune femme, sauf en cas de gros problème. Car elle seule savait gérer ce genre de soucis.

Nan, tu es mon plus beau fantasme, je t'ai désiré tant de temps !!! s'exclama-t'elle.

La brunette aimait le style de son compagnon, qu'il ne cherchait pas spécialement à en prendre soin. Son style décoiffé, pas rasé et assez "jeun's" lui plaisait tant, elle fondait littéralement face à lui !!!

Leur principal jeu n'était pas prêt de cesser. Car bien sur, il ne fallait pas que le reste des employés découvrent la supercherie maintenant !!! Alors leurs remarques étaient toujours aussi présentes, mais les regards avaient augmentés. Certes plus tendre, mais pour l'instant tout cela passait encore inaperçu.

Tu m'étonnes !!! ironisa-t'elle. J'aime quand tu t'offres à moi House ...

Lisa savait parfaitement qu'il aimait ses cheveux détachés, lorsqu'ils lui retombaient superbement sur les épaules. C'est pourquoi elle les attachait exprès, afin de lui laisser le "plaisir" de lui défaire son élastique. Et puis, ça lui permettait de sentir ses mains contre sa peau, et dans ses cheveux, ce qu'elle aimait par dessus tout.

Au lieu de s’emporter sur les donateurs ou les patient, elle s’emportait sur son diagnosticien qui en faisait des entré fracassante, parfois pour un petit rien ou bien des fois pour une grande demande d’examens complexe et couteuse. Mais on ne pouvait pas lui en vouloir bien longtemps, House était House, il n’allait pas changer pour le moindre du monde avec ses entré pareil, il aimait bien venir la dérangé, presque tout le temps en mauvais moment. Ignorant bien qu’elle adorait cela, même en ne le sachant pas, il allait continuer.

Elle ne lui en avait pas voulue longtemps, il avait toujours de bon argument, faudrait bien qu’ils apprennent à s’en sortir en premier lieu seul, s’ils ne sont vraiment pas capable de l’appeler. Il les savait plus intelligent de se qu’il laissait paraitre, a eux de le prouvé maintenant.

- Désire-le autant que tu veux, car il te reste, aussi longtemps que tu le désire…

Style, qui n’était pas vraiment de son âge, a assembler divers vêtement qui n’allais pas toujours ensemble, mais cela lui allait si bien, ont aurait dit qu’il n’était pas vraiment sortit de son adolescence pour cette partie. Mais savait aussi très bien s’habiller quand la situation l’exigeait. En fait, il n’avait pas vraiment changé depuis la FAC.

Petit ou il prenait plaisir à jouer. Il fallait tout de même garder son cœur d’enfant une fois adulte pour ne pas devenir comme un robot. Semant lentement le doute a leurs pauvres esprits tordus. Un jour leurs faudra bien s’avouer vaincu, mais pas maintenant.

-Alors je ne cesserais pas de t’étonner

Plaçant un baiser à son cou, tout en continuant, entendant parfois les rire de Rachel, en le voyant faire avec ses cheveux. Il prenait un malin plaisir à lui détaché, même lorsqu’il se retrouvait à l’hôpital. Il n’y pouvais rien, s’il l’adorait cheveux lousse.

Lisa ne s'emportait que très rarement envers ses rendez-vous (donateurs ou patients), car House arrivait toujours avant qu'elle pousse un coup de gueule. Du coup, elle "passait" ses nerfs sur lui. Et, il fallait l'avouer, elle aimait leurs confrontations, leurs discutions, et ne s'en plaignait donc pas vraiment.

Question argumentations, House était un pro. Il savait que dire pour faire changer l'avis de la belle, et plus encore depuis qu'ils étaient ensemble. Car bien sur, elle lui résistait moins qu'avant ...

Je ne cesserai de te désirer, alors prépares-toi à rester avec moi jusqu'à ta mort !!! s'exclama-t'elle, tout en lui caressant doucement la joue.

Une des choses que la jeune femme appréciait chez son employé, c'était le fait qu'il se contrefiche de son apparence. Ses jeans, ses T-shirts un peu rétro et les chemises qu'il portait par dessus affublés de baskets Nike lui donnait un style tout à fait particulier, unique, un style bien à lui. Et ça, c'était l'une des choses qui faisaient fondre la brunette devant lui.

Les deux médecins se devaient de jouer comme les enfants qui tentent de cacher à leurs parents la bêtise qu'ils ont fait, à part qu'ici ils devaient cacher leur relation. Ce qui signifiait tenir une certaine distance entre eux au travail, ne pas avoir de gestes tendres, et encore moins de démonstrations d'amour, sinon le jeu était perdu. Mais tout a une vie, et ce jeu aussi devrait cesser un jour. Evidemment, ils décideraient de le stopper d'un commun accord, et avoueraient leur couple à tout le monde. Et ça, dès que les deux médecins seront prêts ...

Alors je ne cesserai d'apprécier ça !!! ajouta-t'elle.

Rachel riait doucement en voyant le Diagnosticien jouer avec les cheveux de sa mère. Elle avait cessé de les frapper, pour mieux les regarder se câliner.

Même lorsqu'elle se trouvait dans son bureau, il s'amusait à lui détacher les cheveux. Il y prenait vraiment un malin plaisir !!!

House ... dit-elle, avant de lui saisir doucement les lèvres. Je t'aime ...

Il lui avait sauvé la vie plusieurs fois en entrant ainsi dans son bureau. Au moins, elle se défoulait après lui, lui qui se marrait bien dans sa tête, ressortant une fois satisfait en ayant eut sa dose auditive, un narcotique qu’il ne pourrait jamais se passé même en recevant des cures. Elle ne lui avait jamais avoué, qu’elle appréciait ces petits échanges. Mais lui s’amusait à continuer, même lorsqu’elle lui demandait d’arrêté de prendre le temps de cogner et d’attendre un signal pour entrer, mais lui avait répliqué, que cela en serrait moins marrant s’il le faisait a la commun des mortels. Lui n’étais pas l’un de ses communs des mortels.

Mais il était vrai qu’il ne manquait jamais d’argumentation en inventait même lorsqu’il en était a court, se qui arrivait que très rarement. Devinant bien, qu’elle lui résistait de moins en moins, sur les moyens de communication sur le dimanche, journée ou il pouvait profiter d’une journée tranquille ensemble. Il avait même osé mettre les portables dans le congélateur ou le frigo, se qui insonorisait les sonneries.

-Ses déjà le cas, puisque je ne suis pas prêt a partir de ta vie…

Il se contrefichait de son style vestimentaire désordonné, s’il voulait être présentable il n’avait qu’a refermé sa chemise sur son t-shirt, enfiler sa veste laissé de coté et le voila présentable. Il ne portait jamais autre chose que ses fameuses baskets. Elle en était plus confortable que la moitié des souliers pour homme, qui lui donnait un mal de chien a la jambe. Il lui manquait tout de même la moitié d’un muscle.

Ce donnant au jeu de la cachoterie aux parents, qui en était le reste du monde qui les connaissait, se marrant bien à quelque endroit. Lui devait se retenir de plus en plus pour ne pas poser un geste qui pouvais les tromper, il l’aimait de plus en plus et la désirait autant qu’avant. Il ne se le cachait plus, du moins dans sa tête. Un jour, ce jeu allait bien arrêter pour en surprendre plusieurs autours.

-Idem pour moi...

S’étonnant de s’avouer ainsi, mais bon. Il fallait bien avouer que l’amour changeait un peut les personnes. Continuant de faire rire la petite, il s’était bien adapté a la nouvelle vie qu’il avait. Il avait vraiment un malin plaisir à lui défaire à toutes heures en les trouvant attaché.

Oui? Lui remettant tendrement le baiser pour répliquer a sa suite… Moi aussi…

Bon nombre de fois, Lisa avait reproché à son employé ces entrées fracassantes. Mais vraiment rien n'y faisait, il ne prenait vraiment pas la peine de toquer avant d'entrer. Car la jeune femme la savait, il avait besoin de se différencier des autres mortels, de montrer qu'il était unique. M'enfin bon, la politesse, ça existe quand même !!!

Finalement, dix petites minutes d'argumentation avait suffi pour convaincre la jeune femme de mettre de côté leurs moyens de communication avec l'hôpital, le temps du dimanche, alors qu'auparavant elle aurait tenu minimum une bonne demi-heure. Mais rien n'était comme avant, et à l'instant présent, elle ne savait même pas qu'il avait planqué leurs portables dans le réfrigérateur.

Il venait de lui avouer, elle l'aurait pour elle toute seule jusqu'à la fin de sa vie. Cela faisait partie des plus belles choses qu'elle pouvait entendre sortir de sa bouche, et cela lui fit tellement plaisir, qu'elle stoppa net durant quelques instants sa respiration.

C'est une des plus belles choses que tu m'ais dit ... parvint-elle à articuler.

Même si le look d'House n'était pas très recherché, il lui allait si bien. Et Lisa, qui le connaissait depuis le plus longtemps, avant même Wilson, savait que pour le voir en costume 3 pièces, cravate et souliers vernis, il fallait que vous soyez mort et au Paradis. Car il détestait s'habiller en "pingouin", et il avait bien raison !!! Contrairement à elle qui était juste sublime lorsqu'elle enfilait une de ses robes de soirées, par exemple sa robe bustier bleue turquoise. Ou bien ses tailleurs habituels. Enfin bref, elle était belle en toute occasion, même un sac poubelle où on aurait fait des trous pour les membres ne l'enlaidirait pas.

Le jour où ce petit jeu cesserait, les langues se délieraient. Déjà que les infirmières avaient la langue bien pendus, mais alors là elle se lâcheraient !!! Parce que niveau potins, elles pourraient faire la presse people du Princeton Plainsboro Teaching Hospital sans problème !!! Mais peu importe, car si les deux amants l'avouent au PPTH, cela montrera qu'ils étaient prêt à le faire, prêt à l'avouer, et que ce n'est pas une simple passade. Donc peu importe les potins qui se feront au sein de l'hôpital.

Rachel s'était mise à l'autre bout du lit, car malgré son jeune âge elle avait bien compris que ses parents avaient besoin d'un peu de tranquillité. Elle jouait donc avec le drap, poussant parfois de petits rires lorsqu'elle s'y retrouvait emmêlée. Bien sur, la fillette était un peu jalouse que ce "nouveau papa" accapare l'attention et les bras de sa mère, mais bon, il fallait bien ça si elle voulait le garder comme papa définitif" !!!

Même s'il n'avait pas prononcé les mots "je t'aime", ce "moi aussi" avait beaucoup de sens pour la brunette. Ses sentiments étaient partagés, ce qu'elle voulait le plus. Parce que d'une manière, c'était la preuve de l'engagement de son amant.

Tu as prévu de faire quelque chose aujourd'hui ??? lui demanda-t'elle, toujours en lui dévorant les lèvres dans des baisers tendres & passionnés à la fois.

Il n’allait jamais ce lasser de voir la surprise sur les visages lors de ses entré fracassante, il savait deviner quand il fallait entrer ou pas, a date, cela s’était toujours avéré être au bon moment. Il avait besoin de se démarquer, ce qui fonctionnait très bien! On le lui disait, t’es pas normal, il en répondait, pourquoi être normal quand on peut être différent….Il avait quelque fois, ou il avait fait marque de politesse, lorsqu’il se pointait a son appartement et qu’elle verrouillait les portes.

Au moins, il avait bien réussit à la convaincre au bout d’un dix minutes, pour en cacher a son dos les fameux moyen de communication dans le réfrigérateur, chose qu’il avait mainte fois fait, mais qu’elle ne s’en ait jamais rendue compte. Même lorsque ceux-ci vibrait sur la tablette émettant un petit bruit ou bien lorsqu’elle fouillait dans celui-ci elle ne les voyait pas passant tout droit, se qu’il pouvait bien ce marrer.

Il pue voir la surprise suscité a la suite de ses paroles. Se demandant si elle allait tomber dans l’inconscience a force de ne pas respirer ou bien d’éclater de rire ou bien autre chose. Pour finalement, l’;écouter lorsqu’elle reprit vie.

-Attend toi à en entendre d’autre ma belle…

Il en était difficile de le faire changer D’avis sur ses choix vestimentaire. Même lorsqu’il passait en cour ou quelque chose d’important recommandant le costume trois pièces, il avait toujours son t-shirt et ses baskets. Il n’avait même pas revêtit le costume dit pingouin complet au décès de son père, car bien que névrosé, il n’allait pas l’enfiler pour cette homme. Sans doute pourras t-il changer d’avis pour en accompagner sa compagne lorsque cela donnera l’occasion. Occasion qui ne s’était pas présenté jusqu’alors. Les préliminaire durait plus longtemps avec ses multi couche se qui était amusant après tout.

Il y avait peut être déjà un journal people qui circulait dans les couloirs. Ne se diffusant peut être pas par papier mais par SMS ou bien en email, car presque tout le personnel avais un portable ou bien un email quelque pars. Mais pour le moment, se petit journal restait cacher et tant mieux. Déjà que House, se fouttait bien de se que l’ont pense de lui, il ne s’en était jamais préoccuper d’ailleurs.

Observant de temps en temps la fillette jouer dans les draps du lit conjugal des parents. S’empêtrant parfois dedans a ne plus savoir comment s’en sortir. Requérant leurs aides de temps en temps. Comprenant la petite jalousie qui pouvais l’animé lorsqu’elle les interrompait a leurs baiser ou leurs petites affections.

Avec toutes les paroles non dites, avec les gestes démontré ou les paroles sans vraiment de sens, tout voulait dire quelque chose de bien définit, chose qu’elle détectait sans problème. L’écoutant en silence, secouant légèrement la tête a sa question.

-Rien pour le moment…

Ils le savaient, jamais l'un des deux médecins se lasseraient de ces entrées si ... particulières. Et puis, inutile de se le cacher, House aimait être différent, et sa Boss appréciait son côté "unique". Bien sur, de temps à autre il frappait aux portes, par exemple lorsqu'il venait lui rendre chez elle et qu'elle avait fermé les portes à clé. Mais même là encore, il lui arrivait d'entrer sans problèmes, puisqu'il avait fait faire un double des clés de la jeune femme !!!

Evidemment, la Doyenne se mettrait à la recherche de son portable et de son bippeur un peu plus tard. Ou, comme toujours, ils réapparaîtraient mystérieusement. Mystérieusement ??? Non, plutôt "grâce" à House ...

Cette révélation lui avait réellement fait stopper sa respiration !!! En même temps, c'était si inhabituel venant de la bouche du Diagnosticien !!! Alors elle avait de quoi stopper sa respiration ...

Oh, quel honneur !!! ironisa-t'elle gentiment.

Comme partout, les infirmières n'avaient rien d'autre à faire que de blablater au sujet des relations intra-personnels au sein de l'hôpital. Mais bon, qui pourrait leur retirer ce "plaisir" ??? Lisa avait beau eu pousser des coups de gueule contre elle, rien n'y faisait. Alors autant les laisser continuer, et ne plus les écouter.

Rachel quémanda par ici et par là l'aide de sa mère ou de son employé pour se dépêtrer de tout cet amas de plis de drap, mais rien de bien méchant. Elle semblait commencer à comprendre que les deux médecins avaient besoin qu'on leur laisse une certaine intimité ...

Au moins, les autres ne comprenaient pas toujours où ces deux-là voulaient en venir, mais tant mieux nan ???

Alors je te propose de rester au lit avec moi ...

House, n’appartenait pas au type dit normal, il ne l’avait jamais vraiment été. Il controversait toutes les règles possibles de la bienséance, les règles de l’hôpital, lorsqu’il jugeait que cela était nécessaire. Mais bien souvent, cela en avait été nécessaire, mais trouvais toujours les bons mots pour ce justifier, il ne manquait pas vraiment de culot ou de tac. Il n’avait jamais dit qu’il avait réussit a faire des double de clefs, mais elle s’en doutait peut être déjà se qui ne l’inquiétait pas trop, puisque maintenant elle n’allait pas lui reprocher d’avoir fait cela, il allait de toutes façon les avoir au cours de la relation, mais les avait déjà. Qu’il est vilain notre médecin! Aimant bien la faire chercher pour les fameux moyens de communication, lorsqu’elle prenait rage il les faisait réapparaitre sur la table, en disant qu’il avait toujours été la. Qu’elle magicien celui-là! La laissant revenir tranquillement de sa surprise, avec un petit sourire.

-Que d’honneur pour toi…

Ce foutant bien de se que les infirmières pouvaient raconter, bien souvent s’en était que de fausse rumeurs concernant bien des gens, jusqu'à preuve du contraire. Pour le moment on ne racontait pas grand-chose a leurs sujet, se qui les libérait d’un poids, poids qui pouvais devenir lourd a l’étape des questions. Mais House savait les esquiver avec sa manie de désespéré les autres et pourquoi il les écouterait??

Dépêtrant de temps en temps la petite jeunesse qui jouait a l’autre bout du lit en jouant a je m’emmêle dans les draps. Jusqu'à se qu’elle se déplace a l’aveuglette prés du rebord du lit. Surveillant ses geste pour ne pas qu’elle tombe en bas. Eux seul comprenaient leurs paroles muettes et leur geste. A croire qu’ils savaient parler sourd et muet. Ce ne serrais pas étonnant que notre géni le sache avec tout ses multilingue qu’il connaissait.

-J’en suis totalement d’accord…

Lisa y avait réfléchi, elle comptait donner un double de ses clés à House; Mais un jour,en lui faisant les poches pour faire la lessive, elle avait dénicher les doubles qu'il s'était déjà fait faire. Et malgré qu'elle en ait eu l'envie, elle n'avait pas réussi à lui en vouloir !!! Mais bien sur, elle ne lui avait pas avoué qu'elle était au courant, préférant voir comment il s'en sortirait.

Elle se doutait bien qu'il se chargeait lui même de faire disparaître leurs moyens de communication, même si elle n'en disait rien. Et puis, il fallait l'avouer, cela l'amusait de chercher ainsi dans toute la maison, juste pour s'amuser !!!

Oh oui, avec toi je suis gâtée !!! précisa-t'elle, un sourire aux lèvres.

Pour le moment, la chance était avec eux. Car oui, la nouvelle ne s'était pas encore répondu dans tout l'hôpital. Heureusement que lorsque des doutes au sujet de leur relation se faisaient sentir, ils savaient esquisser, sinon ils auraient été mis à découvert depuis fort longtemps !!! Et puis, autant les ignorer, ça marche aussi ...

Rachel était au bord du lit,ce qui effraya la jeune mère. Elle se précipita alors rapidement vers elle, l'éloignant du bord pour la remettre plus au milieu. Elle retourna alors aussitôt dans les bras de son généralissime petit ami.

Je savais que tu serais de mon avis Greg ... lui murmura-t'elle, en lui saisissant une fois de plus les lèvres.

House ignorait qu’elle savait pour les clefs qu’il avait fait faire, cela datait d’une date qu’il ne pourrait dire, bien avant son internat chez les fous. Elle l’avait mainte fois aidé avec tout les désintoxe maison. Même en ayant accepté de le surveillé durant un temps chez lui, s’en était la qu’elle avait sans doute remarqué un trousseau ressemblant au sien en faisant une brassé de lavage, histoire de l’aider et de se changer les idées avec une lessives. Déjà qu’il ne l’avait utilisé qu’une fois, ce n’était pas un drame.

Ce chargeant a chaque fois de faire disparaitre ses moyens de communication pour une période de vingt quatre heures. Vingt quatre heures a se marré a la voir chercher, passant par-dessus en ne les oyant pas et de voir la tête qu’elle faisait en les voyant réapparaitre d’un coup quelque part ou elle avait déjà regardé. Se marrant a chaque fois.

-Profite, tandis que je suis d’humeur…

Humeurs qui résistaient depuis son arrivé, bien que parfois, elle pouvait devenir massacrante quand son équipe la lui brisait. Chose qu’il s’abstenait de faire depuis son retour de Mayfield. Même, si parfois, ils dépassaient les limites, il savait sur qui passé ses nerf ou sinon la simple vue de sa douce arrivait a le calmé tranquillement. Ignorant déjà tout les ragots de l’hôpital, bien qu’il en soit au courant tout de même.

Relâchant sa belle, lorsqu’elle se précipita sur la jeune fille, qui s’en était déplacé sur le rebord du lit pour la replacé dans le milieu. L’enlaçant lorsqu’elle revenue et que l’inquiétude avait quitté leurs esprits.

-J’avais rien de mieux a proposé…

L’embrassant doucement en faisant attention a ses gestes.

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